64 – Clique des 4e bataillons d’Épinal, 1910
Certaines photographies sont parfois difficiles à contextualiser car elles concernent un aspect très particulier de l’organisation de l‘armée avant 1914.
Certaines photographies sont parfois difficiles à contextualiser car elles concernent un aspect très particulier de l’organisation de l‘armée avant 1914.
Plus qu’une analyse d’image, voici le compte rendu d’une recherche sur une photographie énigmatique.
Travail autour d’un portrait isolé mais comportant une identité et une date.
Les photographies de groupe lors d’une halte au cours d’une marche sont aussi incontournables que les clichés à la caserne. Ce sont souvent des mines d’informations et de petits détails.
Deux frères dans une même escouade, ce n’est pas courant ; pris en photographie au front, ça l’est encore moins.
Certaines photographies permettent vraiment de s’intéresser à des aspects méconnus du conflit. Celle-ci en regroupe deux !
Qu’est-ce qui se cache sous l’uniforme du soldat. Des effets réglementaires le plus souvent invisibles.
Une photographie au verso masqué. Ce verso serait-il utile à l’étude du document ? Faut-il tenter de savoir ce qui est caché ?
A la recherche d’Albert Miquey à l’aide de deux photographies de groupe et des écrits de l’expéditeur.
Photographie de piètre qualité technique et factuelle, mais qui se révèle être exploitable, modestement.
Une photographie floue, à contre jour mais qui nous emmène dans un lieu occupé temporairement par un camp de prisonniers.