63 – En marche, 129e RI, 1912
Les photographies de groupe lors d’une halte au cours d’une marche sont aussi incontournables que les clichés à la caserne. Ce sont souvent des mines d’informations et de petits détails.
Les photographies de groupe lors d’une halte au cours d’une marche sont aussi incontournables que les clichés à la caserne. Ce sont souvent des mines d’informations et de petits détails.
Qu’est-ce qui se cache sous l’uniforme du soldat. Des effets réglementaires le plus souvent invisibles.
Une photographie au verso masqué. Ce verso serait-il utile à l’étude du document ? Faut-il tenter de savoir ce qui est caché ?
A la recherche d’Albert Miquey à l’aide de deux photographies de groupe et des écrits de l’expéditeur.
La carte postale comme source d’informations : des soldats indiquent où ils sont sur l’image ou dans la caserne.
Nos yeux ont tendance à être attirés par le groupe. Pourtant ce qui se trouve autour est aussi très riche.
Les photographies nous emmènent parfois dans des directions éloignées de ce que l’on imagine de militaires avant la guerre.
Une marche d’épreuve pour Léon Détanoy qui écrit à sa mère pour l’occasion. Un document qui s’est révélé bien plus riche que prévu.
Si les photographies de groupes de militaires sont fréquentes, celles d’une compagnie le sont moins. Grâce au travail de Thibaut Vallé, elle est en plus localisée, datée.
Cette recherche a été réalisée en concertation avec Bernard Labarbe, spécialiste du 57e RI. Un lieu, deux hommes, l’auteur de la lettre en font un document extrêmement riche.
Les images à notre disposition sont souvent stéréotypées car pour une prise nette, il fallait encore poser. Pas celle-ci.