56 – Au camp, 34e RIT, après 1911
Les photographies nous emmènent parfois dans des directions éloignées de ce que l’on imagine de militaires avant la guerre.
Les photographies nous emmènent parfois dans des directions éloignées de ce que l’on imagine de militaires avant la guerre.
Une marche d’épreuve pour Léon Détanoy qui écrit à sa mère pour l’occasion. Un document qui s’est révélé bien plus riche que prévu.
Même traduit, ce roman a un style très riche et permet de découvrir le quotidien des troupes anglaises fin 1916.
Le 11 novembre 1918 marque le début des obligations militaires pour les hommes restés en pays envahi.
Si les photographies de groupes de militaires sont fréquentes, celles d’une compagnie le sont moins. Grâce au travail de Thibaut Vallé, elle est en plus localisée, datée.
Cette photographie nous fait découvrir Clément Laury et ses camarades mobilisés au 4e ETTEM.
Cette recherche a été réalisée en concertation avec Bernard Labarbe, spécialiste du 57e RI. Un lieu, deux hommes, l’auteur de la lettre en font un document extrêmement riche.
Une description crue du quotidien des soldats allemands, un récit sombre. Un classique qui mérite son statut et qui est à lire ou à relire.
Parcours 11 – Au détour d’une poignée de photographies et de cartes postales, c’est tout le destin d’une famille dans la Grande guerre qui se dévoile un peu.
Les Jollivet, une famille bonnevallaise dans la guerre.
Célèbres, mais des mises en scène ou des images d’avant-guerre.
Un livre pour découvrir un thème dont on parle souvent aujourd’hui : la folie liée à la guerre. Un travail remarquable de synthèse, avec une rigueur exemplaire.
Le « bulletin de recherches des déserteurs & insoumis des armées actives de terre & de mer »