Trésor d’Archives n°68 – En avant la musique ! Auxerre, 1908
Les concerts des musiques militaires dans les kiosques avant 1914 étaient fréquents. Mais que venait-on écouter ? Auxerre, 4e RI, juillet 1908.
Recherches liées à des documents isolas provenant des JMO, du SHD, des Archives départementales, d’archives communales et d’archives privées.
Les concerts des musiques militaires dans les kiosques avant 1914 étaient fréquents. Mais que venait-on écouter ? Auxerre, 4e RI, juillet 1908.
Nouvelle histoire de soldat de petite taille dans la presse en France, mais à la conclusion plutôt étonnante. Gap, 17e RI, octobre 1907.
Deux jumeaux appelés au service en 1906 au 106e RI, la presse s’en fait l’écho. Quel fut leur parcours pendant la Grande Guerre ?
1915. Isolé des mois derrière les lignes, un soldat français écrit à sa femme, courrier repris par la presse en s’adressant aux familles cherchant un disparu.
Compétences et appuis ont-ils permis au sergent-fourrier Robert du 27e RIT du dépôt de Mamers de devenir interprète dans un camp de prisonnier de guerre ?
L’armée française marchait beaucoup avant-guerre. En voici un exemple avec les parcours des marches d’épreuves du 4e RI en mars 1914 autour d’Auxerre.
Un caporal réserviste au 79e RI, l’instituteur Victor Lamirel, meurt d’insolation en août 1898. La presse s’empare du fait, pour informer ou pour convaincre.
Un soldat du 4e RI est arrêté pour vol. La presse narre le fait divers et la justice militaire passe. Quel fut le parcours de vie du soldat Mongendre ?
Père de 4 enfants à 21 ans lors de son incorporation, Camille Couillec a un parcours inhabituel qui nous emmène de surprise en surprise de 1906 à 1924.
Antoine Fabre, réserviste toulousain au 81e RI, note avec précision son ressenti au moment de quitter sa famille à la mobilisation d’août 1914.
Le passage devant le conseil de révision donnait lieu à des articles sur les conscrits les plus lourds, les plus petits, les plus grands.
Bien qu’affecté à une unité d’artillerie à pied où la force est utile, les 127 kilos du conscrit savoyard Eugène Pichon posent problème en 1909.