Miche Goya, Jean Lopez, L’ours et le renard
Comprendre un conflit contemporain avec quelques liens avec la Première Guerre mondiale.
A. Carobbi
Trésors d’archives n°41 – Ne rien dire…
Trésors d’archives n°41 – Ne rien dire… Un soldat contacte la mairie pour annoncer le décès d’un camarade au combat en décembre 1914.
Alphonse et Théophile Penninckx : réfugiés belges en France
Parcours 19 – Les étrangers étaient surveillés et faisaient parfois l’objet d’enquêtes par les préfectures. Voici le parcours d’un père de famille belge en France de 1914 à 1916 et de son fils mobilisé.
Trésors d’archives n°40 – Le crime de Marthe Marais
Trésors d’archives n°40 – Le soldat Letessier du 317e RI décéda de mort violente en avril 1915, non à la guerre mais suite à un tragique fait divers au Mans.
Claude LEBEAU, sergent du 56e RI, à sa promise, 1908.
Analyse de photographie par T. Vallé : 10 – Claude LEBEAU, sergent du 56e RI, à sa promise, 1908. Mais finirent-ils leur vie ensemble ?
Encore un livre sur la bataille de Verdun en 1916 ?
Encore un livre sur la bataille de Verdun en 1916 ? Oui, mais en plus j’en conseille la lecture !
Trésors d’archives n°39 – Boiteux réformé bon absent
Trésors d’archives n°39 – Bien que boiteux réformé, Céleste Pottier est considéré comme bon pour le service armé. Il essaie de sortir de cette situation.1915.
59 – Henri Terrisse, 128e RIT, Maroc, 1915
Des uniformes inhabituels, une localisation lointaine et un mobilisé qui nous en dit assez pour le retrouver.
Trésors d’archives n°38 – Tessier, froussard ou simulateur ?
Trésors d’archives n°38 – Sergent Tessier, froussard ou simulateur ? Un parcours militaire sans ombre voit la mobilisation marquer un changement brutal.
Joanny Champagneux et ses compagnons, la guerre en Allemagne
Analyse de photographie par T. Vallé : 9 – Joanny Champagneux et ses compagnons, la guerre comme prisonniers de guerre en Allemagne.
Trésors d’archives n°37 – Conflit père-fils en 1913
Trésors d’archives n°37 – Le conflit opposant Louis Combes à son père rappelle qu’en 1913 la majorité était à 21 ans : le mineur n’avait pas son mot à dire.
